Zoeliiv m'a rendu mon sperme, caressant doucement ma bite et me donnant un autre baiser avant de se retourner pour partir, alors que je tirais le rideau pour laisser entrer le ventilateur d'air frais. Zoeliiv m'a dit : "C'est bon, tu peux partir maintenant. '. J'ai hoché la tête à contrecœur lorsque Zoeliiv a pris ma main et m'a conduit à ma chambre et lorsque j'ai enlevé mon short, je me suis demandé si elle avait même une petite chaise ou quelque chose pour s'asseoir. Je l'ai entendue murmurer : "Ce soir, tu vas être l'homme, pendant qu'il fait tout le travail", puis me laisser tranquille. Oh, comme j'ai détesté ça. "Ne sois pas désolé, je n'ai jamais détesté ça. Alors on va baiser. On va baiser comme le veut notre patron. Ma chatte, ma bite. "Je pensais, en la regardant caresser ma bite, j'aimais comment cette jolie chatte glissait le long de mon axe. Je n'ai pas dit un mot, ne voulant pas lui donner une chance de se motiver encore plus pour me forcer à la faire descendre. "Eh bien, vous n'aurez pas à en dire plus alors. "Zoeliiv a répondu. "Je suis le patron. "Oh mon Dieu, s'il vous plaît, laissez-moi faire", lui ai-je supplié en me mettant à genoux et en écartant sa chatte, en trempant mon doigt dans son trou de balle. .